un homme qui dort

Tu es fabuleusement libre.
As-tu choisi de mieux vivre ta vie ?
Ou as-tu renoncé ?

C’est peut-être ton histoire. Un matin, tu décides, simplement, évidemment, de ne pas te lever. De ne pas écouter ton réveil, de ne pas te présenter au monde. Tu n’iras pas à tes examens, tu ne finiras pas tes études. Tu dis stop. Et un autre monde se met en marche. Traîner, dormir, glisser dans les rues, manger, aller au café, au cinéma, t’asseoir sur un banc, manger ton pain au lait, boire ta bière, ton café. Cette vie tracée pour toi, elle va trop vite, trop fort. Ce monde qui t’est offert, il aspire tout sur son passage. Cette foule qui va et vient, ces bruits, ces injonctions, ces idées qui te polluent, tu leur dis stop.

TT – Le jeu du duo est franc, juste, maîtrisant les tours et détours d’une pen- sée qui nous parvient, nous touche. Une expérience littéraire et théâtrale ! TÉLÉRAMA

Le jeu de Véronique Boutonnet impressionne. Richard Arselin est l’étudiant. Il n’a plus l’âge et c’est en cela que réside une des puissantes images de ce spectacle remarquable. Mise en scène avec une grande poésie de Stéphane Daurat, c’est beau. L’OEIL D’OLIVIER

mise en scène Stéphane Daurat
avec Véronique Boutonnet et Richard Arselin
scénographie Richard Arselin
création lumières Mathias Bauret

avec le soutien du Conseil Départemental des Deux- Sèvres et de la Ville de Clohart-Carnoët

en partenariat avec le Bouffon Théâtre